illustration du petit quizz PCPL combien de fois fut bléssé napoleon 1er bonaparte pariparla.fr

Combien de fois fut blessé Napoléon 1er Bonaparte ?

1 SEULE FOIS

Le moins qu’on puisse dire, c’est que Napoleon 1er, aussi connu sous le nom de Napoléon Bonaparte – « Bonaparte » n’étant pas un surnom, mais bien son vrai nom – n’était pas le dernier pour la baston.
On compte plus de 200 guerres et batailles dites « napoléoniennes » sur les 22 ans que dura sa carrière militaire.

« Aboukir », « Austerlitz », « Trafalgar » ou encore « Waterloo », ca vous dit forcément quelque chose !


Ses motivations sont parfois décriées, et le nombre de pertes humaines engendrées par tous ces combats est – évidemment – regrettable (on estime à près d’un million d’hommes les pertes toutes nationalités confondues dont 400 000 seulement dans les rangs français), mais il est incontestable que le génie militaire de Napoléon 1er a permis de maintenir une certaine dominance de la France et un élargissement des frontières impériales.

Pourtant, bien qu’il ait passé le plus clair de son temps sur le champs de bataille, on ne connait à Napoléon 1er qu’une seule blessure qu’il reçut le 23 Avril 1809 lors de la bataille de Ratisbonne (lors de la campagne d’Allemagne et d’Autriche).

tableau de napoleon 1er bonaparte chevauchant pour illustrer le petit quizz PCPL : combien de fois fut blessé napoleon ? Et même là, pas de quoi se pavaner avec une jolie balafre à exhiber aux copains pour craner : Napoleon 1er fut blessé au pied !
Au talon plus précisément.
Et la balle autrichienne qui fit le bobo avait été tirée de si loin que l’impact ne causa qu’une petite contusion.

On lui fit donc rapido un pansement à l’infirmerie du camp et le chef de guerre remonta à cheval illico pour repartir à la bagarre!

Pourtant, la rumeur circula dans les rangs de l’armée allemande : le grand Napoléon était blessé !

Des milliers d’hommes, du simple soldat aux membres de l’état major, se rendirent le soir même au chevet de l’empereur français en son Quartier Général de l’abbaye de Pruel pour lui manifester leur respect, tous convaincus que la blessure était grave vue la rudesse des combats.

On imagine leur surprise (et sans doute leur soulagement aussi) quand ils ne trouvèrent un Napoleon que très légèrement boitillant…